L’hydrogène blanc : solution aux défis énergétiques futurs ?

Depuis quelques semaines l’actualité est riche en ce qui concerne l’hydrogène. Notamment concernant l’hydrogène BLANC, celui qui est naturellement présent dans le sous-sol.

Il y a un premier forage en exploitation au Nebraska, des gisements à l’étude en Australie, au Brésil, en Chine, Europe du Nord … mais aussi en France. En effet un gisement a été découvert dans les Pyrénées-Atlantiques et tout récemment en Lorraine. Un permis de prospection a même été déposé par la Française de l’Energie portant sur 2250 Km².

Cela fait plus de 10 ans qu’un gisement est exploité au Mali, mais scientifiques et industriels ne croyaient pas au potentiel de cette source d’énergie trop belle pour être vraie.

A la différence de l’Hydrogène « vert », jaune ou gris, produit soit à partir de méthane soit par électrolyse de l’eau, il n’y a pas ici d’utilisation d’énergie fossile, ni émission de gaz à effet de serre. Et comme sa combustion n’entraîne que la production d’eau et d’oxygène, cela en fait la source d’énergie la plus propre imaginable !

Utiliser l’hydrogène : encore beaucoup de challenges à relever !

La principale raison du désintérêt envers l’option de l’hydrogène blanc est en passe d’être levée : c’était le manque de quantité potentielle. Les géologues considèrent maintenant que cela était grandement sous-estimé. Le projet REGALOR avec le forage de Folschviller (en Lorraine) a montré que la concentration en hydrogène augmentait avec la profondeur pour atteindre 15% à 1093 m !

L’autre défi de taille concerne l’acheminement du gaz. L’hydrogène est l’atome le plus petit de l’univers, et aussi le plus abondant (75%). L’inconvénient c’est qu’il s’immisce partout et profite du moindre défaut d’étanchéité pour s’échapper. Rappelons ici que le risque d’explosion est bien supérieur qu’avec le méthane. Raison de plus de contenir les risques de fuite.

C’est pourquoi FOUILLEUL, dans sa tradition d’innovation, a étoffé sa gamme d’une solution de pointe qui répond à cette problématique. En partenariat avec notre fabricant de feuille à joints, nous proposons désormais la dernière génération de matière avec une compressibilité accrue et une étanchéité au gaz augmentée de 55%. Une solution idéale pour l’étanchéité à l’hydrogène, l’hélium ou plus généralement les gaz dont nous souhaitons réduire les émissions passives et ainsi préserver l’environnement. Un besoin ? Contactez-nous!